Covid 19
Pour notre Santé . respectons les mesures de protection et de distanciation.
Ensemble nous vaincrons cette pandémie du Coronavirus.
Se protéger c´est protéger tout le monde.
Pour notre Santé . respectons les mesures de protection et de distanciation.
Ensemble nous vaincrons cette pandémie du Coronavirus.
Se protéger c´est protéger tout le monde.
Notre pays est confronté à plusieurs défaillances en matière de respect des droits humains depuis plus d’un demi siècle.
Cependant, dans sa lutte contre la torture, l’OMCT ( Organisation
Mondiale Contre la Torture) a eu à faire des recommandations aux
autorités Togolaises relativement au non respect des droits humains et
des cas de tortures allégés par les victimes .
En effet, des pratiques de tortures ont été pratiquées pendant longtemps sur la terre de nos aieux. A Lomé 2 , il existe un centre de torture au sous sol. Les militaires et militants de l’opposition sont souvent torturés dans ce centre ou on assiste vraiment à des traitements cruels, inhumains et dégradants des détenus le plus souvent menottés. Pour la petite anecdote, d’après de nombreux témoignages, Le père de Tutu surnommé ” baobab” dirigeait lui-même certains cas de torture avec une coupe de champagne à la main. Récemment un jeune du nom de Razak Touré qu’ils accusaient à tort de détenir des armés avait été torturé au sous sol de Lomé 2 avant d’être relâché. Il trouva la mort deux mois plus tard après sa libération.
Ces centres de torture existent pratiquement dans les zones ou il y a les corps habillés sur toute l’étendue du territoire.
Un autre cas qui est beaucoup plus alarmant et ou les conditions de détention et les cas de tortures sont très cruels et graves est le centre de torture des militaires qui se trouve au sein même de l’Etat-major des Forces Armées Togolaises. La plupart de ces cellules se retrouvent au sous sol et d’autres sous les manguiers. Les bâtiment peuvent regorger 6 à 7 cellules. Ce sont des cellules qu’ils qualifient eux-mêmes de ” cellules noires” qui sont gardées Tp secret. Ces cellules avaient été construites par le Général Tidjani qui avait lui même goûté à la pâte qu’il a préparé. Les militaires qui sont torturés là sont souvent considérés comme des militaires ayant râté leur mission ou suspectés de terr rsme ou de préparer un coupp.Les détenus militaires sont souvent cagoulés avant d’être conduits à destination. Ils sont souvent menottés hommes comme femmes en caleçon pendant de longues heures dans des cellules qui sont souvent sombres, immergées d’eau avec la présence régulière des moustiques et des rats. Le pire, c’est que les aliments qui leur sont offerts contiennent des poisons lents. Seuls les plus chanceux y sortent de ces cellules noires de l’Etat major vivants. Comme exemple il faut citer le Colonel Biteniwe qui lui même est passé par là, le sergent Akakpo, du service secret de la garde présidentielle qui s’est retrouvé parce que selon leur propre version aurait râté une mission au Mali, le caporal surnommé ” missile” qui selon eux aurait tenté à travers la domestique,d’empoisonner le petit frère de tutu qui est actuellement à l’assemblée nationale. Seul Dieu sait si ces derniers sont toujours encore vivants dans ces cellules noires de l’Etat-major.
Pour pouvoir avoir accès à ces cellules noires, Il faut disposer d’une badge spéciale . Seuls le chef d’Etat majooor accompagné de ses deux gardes, quelques officiers supérieurs zélés et des personnalités civiles qui ont accès à ces cellules. Il faut citer par exemple, G. Bawaraaa, Col Biteniweee, le petit frère de Tutu Mayyyy, Zakariii, Odou”””, le sorcier blanc Debassschhh.
Nous nous demandons si c’est de cette manière que la loi n°2016-008 du 21 avril 2016 portant code de justice militaire devrait être appliquée conformément aux procédures pénales régissant nos textes constitutionnels. C’est cette loi que l’équipe de Trimuaa a présenté au comité de torture comme l’une des réformes engagées dans le cadre de la lutte contre la torture et du respect de la convention de Genève dont le Togo est signataire. Cette loi n’a jamais fait fait l’bjet d’un vote à l’assemblée encore moins adoptée. Elle n’est que théorique et taillée sur mesure pour tromper la vigilance de l’OMCT. Pourquoi ne mette t il pas encore sur pied un tribunal militaire?
En annexe, certaines recommandations importantes du
comité notamment la poursuite des auteurs de crimes de torture par
exemple. Les recommandations du comité font 10 pages.
Les tortionnaires sont nombreux et protégés par les bourreaux.
Comme tortionnaires, il faudra citer :
Le Général Yark DAMEHANE, Ministre de la Sécurité
Colonel MASSINA Yotrofei, DG de la Gendarmerie nationale
*Le Commandant ATEKPE du SRI qui d’après nos recoupements seraient un ”
lâche” ( voir photo , habillé en tenue civile devant sn patron Col
Massina Yotrofei.
Nous n’arrivons pas non plus à comprendre comment
les enfants de même père peuvent devenir tous officiers et occupant des
postes stratégiques si ces derniers ne snt pas des ” mains noires”. Il y
a un frère qui est Capitaine ATEKPE au RBRA en charge d’un autre
service de renseignement au RBRA et un autre frère capitaine au camp du
2ème RI
*Le capitaine YAKA du RCGP , béret vert avait tiré à bout
portant il y a quelques mois sur son subordonné soldat de 2ème classe
Kokou
*Le Capitaine AKAKPO
*Le Lieutenant TITIKPINA
*Le Sergent TCHAMDJA du RCGP a trturé à mort un soldat para au camp
*Le Sergent KPEMISSI Kobissi, fils du Major KPEMISSI est un grand
tortionnaire au SRI . Ce dernier terrorise tout le monde sur son
chemin.
*Le Sergent LEMOU
Il faudra aussi souligner l’existence des mini villas en ville pour les investigations, tortures et meurtres. Ces mini villas se trouvent dans les quartiers d’Adewui, Agoè, Adamavo, Nukafu etc…..
Actuellement beaucoup de soldats ont perdu la raison de vivre à cause des mauvais traitements qu’ils subissent.
Nous n’attendrons pas la chute de ce régime tyrannique cinquantenaire avant de dénoncer toutes ces injustices que vivent nos frères et soeurs d’armes sans oublier les détenus politiques qui croupissent aussi actuellement dans les geôles de ces tyrans.
Nous exigeons à cet effet que l’OMCT ouvre une enquête sur le territoire Togolais conformément au chapitre 5 sur les plaintes, enquêtes , poursuites judiciaires et extraditions -paragraphe 15 de la convention des Nations Unies en matière de lutte contre la torture.
Chapitre 5 –
Plaintes, enquêtes, poursuites judiciaires et extraditionsArticles
pertinents de la Convention des Nations Unies contre la torture et
autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants :Article
71. L’État partie sur le territoire sous la juridiction duquel l’auteur
présumé d’une infraction visée à l’article 4 est découvert, s’il
n’extrade pas ce dernier, soumet l’affaire, dans les cas visés à
l’article 5, à ses autorités compétentes pour l’exercice de l’action
pénale.2. Ces autorités prennent leur décision dans les mêmes conditions
que pour toute infraction de droit commun de caractère grave en vertu
du droit de cet État. Dans les cas visés au paragraphe 2 de l’article 5,
les règles de preuve qui s’appliquent aux poursuites et à la
condamnation ne sont en aucune façon moins rigoureuses que celles qui
s’appliquent dans les cas visés au paragraphe 1 de l’article 5.3. Toute
personne poursuivie pour l’une quelconque des infractions visées à
l’article 4 bénéficie de la garantie d’un traitement équitable à tous
les stades de la procédure.Article 81. Les infractions visées à
l’article 4 sont de plein droit comprises dans tout traité d’extradition
conclu entre États parties. Les États parties s’engagent à comprendre
lesdites infractions dans tout traité d’extradition à conclure entre
eux.2. Si un État partie qui subordonne l’extradition à l’existence d’un
traité est saisi d’une demande d’extradition par un autre État partie
avec lequel il n’est pas lié par un traité d’extradition, il peut
considérer la présente Convention comme constituant la base juridique de
l’extradition en ce qui concerne lesdites infractions. L’extradition
est subordonnée aux autres conditions prévues par le droit de l’État
requis.3. Les États parties qui ne subordonnent pas l’extradition à
l’existence d’un traité reconnaissent lesdites infractions comme cas
d’extradition entre eux dans les conditions prévues par le droit de
l’État requis.4. Entre États parties lesdites infractions sont
considérées aux fins d’extradition comme ayant été commises tant au lieu
de leur perpétration que sur le territoire sous la juridiction des
États tenus d’établir leur compétence en vertu du paragraphe 1 de
l’article 5.Article 91. Les États parties s’accordent l’entraide
judiciaire la plus large possible dans toute procédure pénale relative
aux infractions visées à l’article 4, y compris en ce qui concerne la
communication de tous les éléments de preuve dont ils disposent et qui
sont nécessaires aux fins de la procédure.
44GUIDE SUR LA
LÉGISLATION CONTRE LA TORTURE2. Les États parties s’acquittent de leurs
obligations en vertu du paragraphe 1 du présent article en conformité
avec tout traité d’entraide judiciaire qui peut exister entre
eux.Article 12Tout État partie veille à ce que les autorités compétentes
procèdent immédiatement à une enquête impartiale chaque fois qu’il y a
des motifs raisonnables de croire qu’un acte de torture a été commis sur
tout territoire sous sa juridiction.Article 13Tout État partie assure à
toute personne qui prétend avoir été soumise à la torture sur tout
territoire sous sa juridiction le droit de porter plainte devant les
autorités compétentes dudit État qui procéderont immédiatement et
impartialement à l’examen de sa cause. Des mesures seront prises pour
assurer la protection du plaignant et des témoins contre tout mauvais
traitement ou toute intimidation en raison de la plainte déposée ou de
toute déposition faite.16.
. Le Protocole d’Istanbul fournit un ensemble de lignes directrices pour documenter et enquêter sur les allégations de torture et de mauvais traitements et signaler ces faits aux organes d’enquête ou au pouvoir judiciaire.12812913018. La Convention fait obligation aux États parties de poursuivre en justice ou d’extrader les auteurs présumés d’actes de tortureLa Convention fait obligation aux États de poursuivre en justice les personnes accusées d’avoir commis des actes de torture – sauf si ces personnes sont extradées.131 L’un des principaux objectifs de la Convention est de lutter contre la torture et l’impunité : la poursuite en justice des auteurs d’actes de torture et de mauvais traitements découle donc naturellement de l’obligation incombant à l’État d’établir sa compétence sur le crime de torture. La Convention traite l’obligation de poursuivre ou d’extrader dans son article 7. La Convention laisse aux États la possibilité de poursuivre en justice ou d’extrader les auteurs présumés 125Voir CAT, Halimi-Nedzibi c. Autriche, Doc. ONU CAT/C/8/D/8/1991, §13 ; CAT, Blanco Abad c. Espagne, Doc. ONU CAT/C/20/D/59/1996, § 8.126Manfred Nowak et Elizabeth McArthur, op. cit. 45, p. 436.127Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, Série de formation professionnelle N°8/Rev. 1, Protocole d’Istanbul : Manuel pour enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements, cruels, inhumains ou dégradants, disponible sur : http://www.ohchr.org/Docum…/Publications/training8Rev1en.pdf (consulté en février 2016).128Maldives, Act on the Prohibition and Prevention of Torture 2013, op. cit. 3, article 18(a).
Pour le cas de Tutu qui a taillé l’article 75 ce 8 mai 2019 pour se protéger contre une éventuelle poursuite, nous lui prions de lire posément le paragraphe 16 de la convention de Genève contre la torture. Ce n’est plus le moment de rappeler que Tutu lui même commandite certains cas de tortures , d’enlèvements et d’assassinats. Ci-dessous quelques points de ce paragraphe 6:
49Chapitre 6 – Amnisties, immunités, prescription et autres obstacles juridiquesArticles pertinents de la Convention des Nations Unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants :Article 21. Tout État partie prend des mesures législatives, administratives, judiciaires et autres mesures efficaces pour empêcher que des actes de torture soient commis dans tout territoire sous sa juridiction.2. Aucune circonstance exceptionnelle, quelle qu’elle soit, qu’il s’agisse de l’état de guerre ou de menace de guerre, d’instabilité politique intérieure ou de tout autre état d’exception, ne peut être invoquée pour justifier la torture.3. L’ordre d’un supérieur ou d’une autorité publique ne peut être invoqué pour justifier la torture.Article 41. Tout État partie veille à ce que tous les actes de torture constituent des infractions au regard de son droit pénal. Il en est de même de la tentative de pratiquer la torture ou de tout acte commis par n’importe quelle personne qui constitue une complicité ou une participation à l’acte de torture.2. Tout État partie rend ces infractions passibles de peines appropriées qui prennent en considération leur gravité.21. Le Comité estime que les États parties ne doivent pas promulguer des lois d’amnistie pour les auteurs d’actes de tortureL’adoption d’une amnistie empêche l’ouverture d’enquêtes, l’engagement de poursuites et la prononciation de condamnations. De ce fait, les amnisties sont incompatibles avec les obligations de la Convention. Dans son Observation générale N°2, le Comité estime que les amnisties violent le caractère intangible de l’interdiction de la torture : « Il [Le Comité] considère qu’une amnistie ou tout autre obstacle juridique qui empêcherait que les auteurs d’actes de torture ou de mauvais traitements fassent rapidement l’objet de poursuites et de sanctions équitables, ou qui exprimerait une réticence à cet égard, violerait le principe d’intangibilité ».139 Les amnisties violent également le droit à réparation pour les victimes de la torture.
Jeunesse civile comme militaire , mobilisez vous pour mettre fin à l’arbitraire, à l’injustice, à la dictature sur la terre de nos aïeux!
La lutte populaire et sincère est invincible!
Patriotes et portes parles de la majorité civile et militaire misérable!
13/08/2019
Ouro Koura Malik
Au Togo, les cas de tortures sont réels er connus des Togolais qui sont déjà passés par le SRI, L’ANR, les commissariats de police, les brigades de la gendarmerie ou des prisons.
Ces cas de tortures se sont amplifiés depuis les manifestations du 19 Août 2017. Durant la période d’août 2017 jusqu’en ce jour, nous avions assistés à des situations durant lesquelles les forces de l’ordre assistées parfois des miliciens ont fait irruption dans des maisons pour enlever des personnes soupconnées à tort ou à raison d’être militants ou sympathisants de l’opposition. Ces personnes sont souvent conduites dans les locaux du SRI et subissent des traitements inhumains, cruels et dégradants.
Certaines personnes sont souvent arrêtées pendant leur randonnée tout simplement par ce qu’ils ont eu la chance d’être au mauvais endroit au mauvais moment. C’est le cas de nombreux jeunes arrêtés le 13 avril 2019 , date à laquelle le PNP avait lancé un appel à une manifestation contre le pouvoir dictatorial. Nombreux sont ces jeunes qui avaient été torturés pendant des heures au SRI avant d’être transférés à la prison civile de Lomé. Ci-dessous images des victimes de torture du SRI.
Toutes ces arrêstations ont été produites dans des conditions qui ne respectent aucun règlement de la convention signée par l’État partie qui est le Togo à Genève. Autrement dit les règles en matière de procédure pénale n’ont pas été soigneusement respectées.
On comprend aisément que les autorités Togolaises tournent toujours le dos aux règles Mandela, aux protocoles de Bangkok, d’Istanbul ou encore l’article 13 de notre constitution qui oblige l’État de garantir l’intégrité physique et mentale, la vie et la sécurité de toute personne vivant sur le territoire. Nul ne peut… . On signe les conventions, on prend les engagements mais on ne les applique pas.
Le principe de la présomption d’innocence, l’imprescriptibilité du crime de torture, l’obligation d’ouvrir une enquête lorsque les allégations de plaintes concernant les tortures sont portées à la connaissance des autorités ne sont pas dans la réalité appliqués au Togo.
À celà, viennent s’ajouter La surpopulation carcérale, la vétusté des locaux carcéraux, le manque d’accès aux soins élémentaires avec risque de contagion, l’insuffisance alimentaire ( 1 à 2 repas/jour), l’incohérence notable dans les régistres réservés aux détenus ( erreurs dans les entrées et sorties des détenus), périodes longues d’attente de jugement, absence d’assistance judiciaire , procès-verbaux traficottés ( ne révélant pas la réalité ), le droit de visite conditionnée payant etc…
Nous vous laissons le soin de suivre les vidéos relatives aux réponses données par la délégation Togolaise en Suisse depuis le 26 juillet et celle du SG de L’OMCT Gerald Staberock en les comparant avec les images des cas de torture avérés et des conditions de vie dans les prisons Togolaises.
En attendant les enquêtes des Experts du comité de l’Organisation Mondiale Contre la Torture, nous demandons la libération immédiate et sans condition des détenus politiques.
04/08/2019
Ouro Koura Malik
Nous assistons depuis quelques mois à un empêchement des réunions hebdomadaires du parti politique du PNP dans certaines localités de l’intérieur du pays. Il y a quelques semaines, les forces de l’ordre ont fait irruption dans le village du Conseiller du PNP à Yelivo emportant des baffles et autres matériels de sonorisation mis en place pour la réunion hebdomadaire. Les réunions hebdomadaires du PNP participent au devoir des partis politiques de contribuer à l’éducation politique et civique des citoyens en toute liberté car ces libertés sont garanties par les articles 2,6, 7 et 8 de notre constitution Togolaise.
Rappelons que le Conseiller du PNP, Monsieur Ouro-Djikpa Tchatikpi est détenu arbitrairement dans les locaux du Service de Recherche et d’Investigation criminelle depuis avril 2019 ainsi que plusieurs d’autres responsables du PNP détenus également à la prison civile de Lomé.
La question que nous nous posons devant ces actes délibérés du pouvoir est la suivante : Pourquoi avoir peur s’ils savent pertinemment que le peuple Togolais les soutient ?
Tout porte à croire que le parti Etat RPT-UNIR n’est pas un parti que le peuple veut. Les actes répréhensibles à l’égard du Parti National Panafricain en sont largement et clairement illustratifs.
Tout ceci prouve que le PNP est le parti qu’il faut pur une alternance apaisée. Bien sûr que lorsque l’on sait qu’il est plus fort que son adversaire, il n’a pas besoin de le traquer partout. Par contre on vocifère lorsqu’on est conscient de sa propre faiblesse.
En conséquence, il faudra que Faure sache qu’aucun Togolais ne veut plus de lui et pour cela je n’ai plus besoin de rappeler les résultats du sondage effectué par Afro-baromètre au sein de son propre camp. Il peut nous emprisonner, nous opprimer, nous torturer, nous assassiner, envoyer les forces de l’ordre pour perturber les réunions du PNP, etc …. mais il doit retenir au final que la victoire reviendra au PEUPLE.
Ouro Koura Malik
04/08/2019
❗❗❗ ????????❗❗❗????????????
De la conscientisation de l’armée Togolaise vers un sursaut national ? Existe-t-il réellement la paix et la sécurité au Togo ?
Les
dessous des crimes commis par Fau re Gnassin gbé, le Général Félix Kat
anga et certains de ses éléments milices et militaires de 2014 jusqu’à
nos jours.
Chers compatriotes,
” La révolution est un droit inaliénable de l’humanité ” Baghat Singh
Nous
avons l’obligation de dire la vérité pour sauver notre pays au risque
de le voir sombrer dans des pratiques moyen-âgeuses en ce 21 ème
siècle.
C’est la raison pour laquelle nous
avons décidé de mener le combat contre l’injustice auprès des
organisations comme l’Amnesty international ou encore la Ligue de
défense des droits humains.
De 2014 jusqu’à
nos jours, notre pays a été bouleversé par des crises politiques face
auxquelles les vraies solutions de sortie de crise tardent à venir.
À
Mango , déjà en 2014 plusieurs enlèvements , tortures , viol , meurtres
ont été commis par le Capitaine ABDOULAYE Zékériya ( ex chef corps du
25 ème bataillon blindé de Mango) , les Caporaux AREGBA et TCHIAME
Dissounte dans le seul but de conserver le pouvoir du dictateur.
Le
caporal TCHIAME Dissounte , chauffeur du chef corps ( le capitaine
ABDOULAYE Zekeriya ) a conduit un bastion qui a renversé plus de 5
manifestants pacifiques en marchant sur leurs corps. Ces cinq personnes
avaient immédiatement trouvées la mort ( Paix à leurs âmes et sincères
condoléances aux familles éplorées ).
Alors
que les manifestations battaient leur plein entre les militants de
partis de l’opposition d’une part et ceux du pouvoir de l’autre, dans un
fax du chef d’Etat major au chefs corps de Mango, le Pré sident
Tchalevi simple avait ordonné que les militaires se déguisent en civils
pour aller saccager, brûler les maisons et mosquées des citoyens
paisibles. Dans l’exécution desdits ordres venant du haut
sommet de l’Et at Tog” olais , même les maisons des responsables
D’UNIR, parti au pouvoir avaient été brûlées et pillées.
Des
armes de guerre comme le FAC et le G3 , armes souvent utilisées par les
éléments de la garde présidentielle avaient été tirées sur les
populations civiles à mains nues.Des civils ont été bastonnés nuitamment pendant les ratissages des corps habillés puis jetés dans le fleuve Oti ou enterrés. Le
Lieutenant KAMING du CETAP ( troupes aéroportées ) avait lancé des
grenades de guerre dans les manifestants pacifiques et à mains nues
occasionnant des dizaines de morts.
Comme responsables de crimes à Mango et Lomé , il faut citer:
* Le Général KATANGA sous les ordres directs de Fau re, Tchalevi simple * Le Colonel SOGOYOU Kpatcha, Chef d’Etat major de l’armée de terre * Le Colonel MASSINA Yotrofei, DG de la gendarmerie nationale * Le Commandant ADJAGBA Djobo du 25ème bataillon blindé de Mango * Le Commandant MIDIKIZI ABALO du 25ème bataillon blindé de Mango* Le Commandant ATEKPE de la SRI* Le Commandant JACK BAUEUR * Le Lieutenant KAMING du CETAP * Le Lieutenant TITIKPINA de la gendarmerie nationale de Mango* Le Lieutenant AWUIYE Hodabalo * Sous-Lieutenants GNAZO et NASSIMONGUE KOMBATE Leyabe * MDL DJANLAN* Chef REDAH ( GILATE), BOROZE Magnim, DRAGON, *
Le Sergent LAMBONI, BAKOLOU Essohanam, TETOWALA Mawaba, AGBO-KOKO
Kossi Michel, ADJARE, Caporal OURO- SAMA, 2ème classe AMOUZOU, 2 ème
classe BAKOLOUO Essohanam , 2ème classe SIMDORO Maglibè , 2ème classe
SAMIR Mouradji Sadate etc…
Le Caporal
AREGBA, élément du Général Katanga, serait d’après les indiscrétions
le militaire ( ex soldat de la FIR devenu BIR) qui avait tiré sur
l’enfant de 10 ans qui a trouvé la mort lors des manifestations
pacifiques de l’opposition à Mango . Ce monsieur a fait la mission au
Mali avant d’aller en Amérique pour une autre mission dans le but d’être
récompensé par son patron pour service rendu.
Les
soldats de 2 ème classe AGBO-KOKO, CLYÈLE Madadéma , BAKOLOU
Essohanam, Caporaux AGBETOME et OURO-SAMA ainsi que le Sergent LAMBONI
ont participé aux incendies des maisons de responsables politiques de
l’opposition à Mango.
Devant la préfecture de
Mango, sous les ordres du Colonel SOGOYOU Kpatcha ( Chef d’Etat major
de l’armée de terre), le Commandant ADJAGBA avait ordonné à ses éléments
de tirer des munitions de guerre sur la population occasionnant des
dizaines de morts et des blessés.
De sources
sûres, à Lomé, suite à l’enlèvement d’un journaliste amateur détenant
des informations confidentielles dont la tête serait mise à prix
sûrement, Tchalevi simple a dû faire nuitamment le déplacement avec son
chef d’Eta t – maj or au SRI pour aller saluer les missionnaires pour
une mission accomplie. Une enveloppe de 5 millions de f cfa avait été
remise à chacun d’entre eux. La suite pour ce monsieur enlevé vous la
connaissez tous.
Suite aux échanges de tirs
dans la maison d’un Général à la retraite pour des motifs jusqu’alors
inconnus, des grenades de guerre provenant de l’armée avaient été
lancés dans sa maison. Bilan 2 gendarmes tombés du côté des
assaillants. Sous les ordres du Chef d’E tat maj or , le
Sergent KANTATI ( classe 2007) avait été pendu au camp RCGP sur le
terrain de l’EGS pour des raisons que nous taisons le contenu pour
l’instant. Ceux qui ont participé à ce meurtre avec la complicité d’un
Lieutenant du RCGP ( dont nous nous abstenons de dévoiler le nom) se
reconnaîtront.
Nous voudrions aussi lancer
un appel à tous les soldats : Sachez que les comptes bloqués qu’on vous a
ouvert pour vous tromper à exécuter les basses besognes ne sont que
fictifs car vous n’aurez jamais l’occasion de toucher à cet argent ni
vos enfants encore moins vos parents. Il est alors temps de déserter et
de quitter cette prison.
Dans l’idée des
donneurs d’ordres et des exécutants, nul ne doute qu’il s’agit de
protéger les institutions de la République et et de préserver la paix à
tout prix.
Ainsi, tenant compte de tous les
éléments précités, nous pouvons logiquement déduire que les civils
comme les militaires sont mécontents de la situation dans laquelle nous
vivons depuis plus de 53 ans. Aussi nous pouvons en déduire
incontestablement qu’un vrai opposant sincère à ce système dictatorial
ne peut en aucun cas résider sur le territoire Togolais sans être
inquiété.
Comment peut-on se sentir en paix au
moment où on reçoit des ordres de protéger les camps en éliminant tout
élément nuisible civil non armé et à mains nues sur son chemin ? ?Comment
peut-on vivre en paix en exécutant des ordres comme ” maîtrisez les
tous” , ” feu” sur les populations civiles civiles à mains nues qui ne
veulent que manifester pacifiquement leur ras-le-bol tout en réclamant
la liberté pour tous les Togolais sans exception ( y compris les
militaires ), la justice, l’égalité des chances pour tous les
Togolais, la liberté et le respect des droits individuels de tous les
Togolais???
Les gens sont persécutés psychologiquement et moralement. Dans une telle situation, comment peuvent t-ils vivre dans la paix ?
Les gens ont faim .. comment voulez vous qu’ils puissent vivre en paix dans l’étouffement ? Les
gens voient leurs enfants se faire tuer, contraindre à l’exil..
comment peuvent t ils vivre dans la paix ? Le Président Fidel Castro
disait : ” Même les morts ne peuvent reposer en paix dans un pays
opprimé “.
Même les auteurs de ces actes
barbares et ignobles sont persécutés psychologiquement et moralement (
exemple des multiples sacrifices après les meurtres ). Ils sont aussi
persécutés psychologiquement car ils savent que toute chose a une fin et
ils ont peur de ce jour final. Vivent t ils dans cette situation en
paix ?? Non….
” La paix n’est pas un mot mais un comportement ” Président Houphouet Boigny.
La
paix ne signifie pas seulement ” circuler librement ” . Non. La paix se
traduit dans le physique, dans le psychologique et dans
l’environnemental. C’est ça la vraie PAIX.
Si nous voulons rétablir la vraie paix;Si nous voulons assurer la liberté de chaque citoyen ;Si nous voulons reconstruire notre pays main dans la main;Si nous voulons restaurer la vraie démocratie; Si nous voulons combattre la pauvreté;Si nous voulons abolir les inégalités et Enfin
si nous voulons réduire les violations des droits humains etc…nous
devons bouster ces démoniaques dehors car ni le Ghana ni le Bénin qui
sont nos voisins ne connaissent la paix après avoir tués massivement
leurs propres enfants.
Vive la jeunesse civile et militaire !
Vive l’alternance pacifique sur la terre de nos aïeux !
Patriotes et Portes paroles de la majorité civile et militaire misérable
Relayez massivement dans toutes les langues locales
Ouro Koura Malik 09/07/2019
????????????????????????????????
La rencontre de Gerry Taama avec la diaspora togolaise en Belgique ce samedi 23 juin 2018 s’est soldée par une course poursuite entre les compatriotes de la diaspora et Mr Gerry Taama qui a finalement pris la fuite.
Gerry Taama a essuyé des jets d’oeufs, des insultes et jets de chaises des compatriotes de la diaspora togolaise en Belgique très remontés contre cet espion et allié du régime RPT UNIR.
Contrairement à ce qui se passe au Togo, nous n’avons recensé aucun blessé.
Quelques heures plus tard, nous apprenions que Mr Gery Taama serait dans le train en direction de Paris .
Nous lui souhaitons un bon voyage et un bon séjour à Paris.
Il aura de très beaux souvenirs de Bruxelles à partager avec ses amis centristes et son allié RPT UNIR.
Vive la diaspora togolaise en Belgique
Seule, la lutte contre les ennemis du peuple libère.
O.K. Malik
Depuis quelques semaines, il est à remarquer des sorties controversées de certaines entités se réclamant de la société civile aussi bien sur le territoire national togolais qu’au sein de la diaspora.
Ces entités d’après nos recoupements seront commanditées par certains partis politiques aussi bien de l’opposition que du pouvoir. Malgré les interpellations de certains membres de la diaspora dans sa majorité sur des initiatives dangereuses qu’entreprennent depuis quelques semaines les initiateurs, la sourde oreille ainsi que la tentative d’explication des actes posés font légion dans leur camp. Il nous revient alors de poser la question légitime à savoir la raison qui pousse ces entités de la société civile à agir de façon unilatérale et non coordonnée avec les autres forces démocratiques qui sont dans cette lutte depuis les manifestations du 19 août organisées par le parti du cheval, PNP ( Parti National Panafricain) suivi par 13 autres partis politiques réunis au sein d’une coalition forte pour faire partir le régime de plus d’un demi siècle du clan GNASSINGBE.
Rappelons que le peuple togolais dans sa majorité était sorti le 19 août 2017 suite à un appel lancé par le parti National Panafricain de Me Tikpi Salifou Atchadam aussi bien sur toute l’étendue du territoire national qu’au sein de la diaspora, pour réclamer le retour à la Constitution de 1992 et le vote de la diaspora. Ces manifestations au Togo ont été soldées par des pertes en vies humaines , des départs à l’exil au Ghana au Bénin et ailleurs, des blessés et des arrestations arbitraires à la suite des courses poursuites et des bastonnades. Toutes ces exactions ont été perpétrées par des receveurs d’ordre de la hiérarchie militaro-civile en grande majorité Kabyè au Togo. Que les âmes de nos martyrs reposent en paix et prompt rétablissement aux blessés qui pour certains sont en invalidité permanente.
La coalition des 14 partis politiques née après les évènements du 19 août ayant suscité un engouement au sein des citoyens togolais partout est restée soudée jusqu’aujourd’hui afin de conclure la lutte ensemble et parvenir à l’alternance tant recherchée par les togolais depuis plus de 51 ans.
D’après les indiscrétions, certaines entités de la société civile à l’image de CODITOGO et TOGO DEBOUT seraient des marionnettes téléguidées , entretenues et financées par les intérêts de certains partis politiques de l’opposition dont nous taisons les noms. Les sociétés civiles militant pour le parti au pouvoir ne sont plus à citer ici.
Les Togolais ne sont plus dupes et pour cela ils ont l’ impérieux devoir d’être vigilants dans leurs engagements pour ne pas être rouler dans la farine encore. Nous connaissons les jeux qu’ont joué les premiers ministres Me Joseph Kofigoh pendant la transition dans les années 90 et Edem Kodjo ( 1994-1996 et 2005-2006) pour faire échouer l’aspiration des togolais à une alternance au sommet de l’Etat Togolais. C’est le même schéma que tente tant bien que mal les acteurs du mal à travers certaines entités de la société civile afin de mettre la pression sur la CEDEAO pour qu’elle propose une feuille de route dans laquelle un des points clés sera la nomination d’un premier ministre issu de la société civile comme CODITOGO ou TOGO DEBOUT qui sera un allié du régime pour faire échouer encore la lutte du peuple togolais dans sa libération des jougs des GNASSINGBE. Les togolais l’ont bien compris et ont exprimé leur colère sur les réseaux sociaux face aux gesticulations de ces entités de la société civile qui veulent se manifester pour leurs intérêts cachés.
La majorité des togolais fait confiance à la coalition des 14 partis politiques de l’opposition et soutient toutes les activités qui s’inscrivent dans le cadre de la C14. Pour une fois encore, les Togolais ne sont ni contre CODITOGO ou TOGO DEBOUT mais leur demandent de faire des concertations avec la C14 ainsi que les autres associations de la société civile , associations, leaders d’opinion tant à l’intérieur du pays que dans la diaspora afin de bien coordonner des actions intelligentes, coordonnées et non tendancieuses pour la conclusion de cette lutte.
Toutes les tentatives visant à faire fausse route à la C14 resteront vaines.
Vigilance! vigilance! vigilance!
Affaire à suivre…..
O.K. Malik
L’information vient de nous parvenir. Les responsables de la Coalition des 14 viennent d’annuler leur voyage prévu sur Accra au Ghana ce mardi. Et pour cause. |
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Selon nos sources, ce report de dernière minute est dû à l’agenda du Facilitateur Ghanéen, Nana Addo-Akufo. La rencontre entre la délégation de l’opposition et le président du Ghana est donc renvoyée à une date ultérieure. A en croire nos sources, ce voyage va être prévu probablement sur un autre jour de la semaine. Rappelons que cela fait 3 mois que les travaux des pourparlers entre le pouvoir et l’opposition sont ouverts. Mais jusqu’à présent, c’est le statu quo. Les discussions sont au point mort. Normalement, ce nouveau rendez-vous à Accra devrait être l’occasion pour Jean-Pierre Fabre et ses amis de la Coalition d’exposer au président Nana Addo-Kufo, l’obsession de Faure Gnassingbé d’organiser les éléctions sans les réformes. Et les dérives auxquels se livre le régime RPT-UNIR ces derniers jours, avec les militaires et policiers qui commettent des exactions sur les paisibles populations. A. Godfrey |